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Les recettes de Gil et Julie

Les recettes de Gil et Julie Banjo joint l’utile à l’agréable et réalise ce qui tient presque du miracle distraire les enfants tout en leur apprenant à subvenir à leurs propres besoins… Deux vidéocassettes enseignent l’art subtil de la cuisine à nos chers bambins, Gil et Julie. Trois menus complets y sont présentés : soufflé à l’orange, roulades d’asperges à la crème et tarte au sucre n’auront plus de secrets pour les futurs cordons-bleus. Une réserve toutefois : ces recettes sont destinées aux enfants sages. Pour les autres, éponges et tampons à récurer pourront se révéler nécessaires en cas d’expériences malheureuses.

Tennis, funboard et football

Tf1 Vidéo nous réserve le meilleur des plus grands moments sportifs de cette défunte décennie. Trois vidéocassettes, trois documents exceptionnels : «Chris Evert, les adieux de Wimbledon», « Funboard, Coupe du monde 1989» et «Football, championnat de France 89-90». Le sport devient réellement spectacle où ne subsiste plus que beauté des gestes et pureté des émotions. Pour l’évasion et pour le fun, pénétrez l’univers des stars de l’extrême à partir du 9 juin! On en reparlera plus longuement le mois prochain…

L’amour est une grande aventure

L'amour est une grande aventureDiable d’homme et diable de cinéaste, ce Blake Edwards ! Il réussit le cocktail explosif du burlesque le plus frénétique et de la peinture la plus aiguë des mœurs contemporaines. Dans « L’amour est une grande aventure », il y a une maison qui brûle, des baffes échangées, des portes qui claquent, des amants dans le placard, des voitures qui sont crashées, des préservatifs fluorescents… Edwards n’a pas perdu son savoir-faire « gaguesque » de « La Panthère rose », «La grande course autour du monde » ou même de « Boire et déboires ». Mais « L’amour est une grande aventure «aborde un sujet particulièrement dramatique un scénariste hollywoodien, alcoolique, coureur de filles et infidèle, voit sa vie tourner à l’enfer ! Et, là, Edwards prouve, une nouvelle fois, qu’il est un observateur attentif. Au-delà de leur côté « farce », ses films sont des chapitres à la fois différents et intimement liés de l’Amérique des années 80. John Ritter, comédien souriant mais fade à souhait, est parfait dans le rôle de cet homme mené par son sexe et s’apercevant, après moult aventures, que seule son épouse l’intéresse ! Une épouse qui en a soupé et est bien décidée à ne plus se laisser faire. D’où nouvelle série de gags ! Si Edwards n’a pas de tendresse particulière pour son héros, il regarde un chapelet de superbes dames qui l’entourent avec une revigorante… misogynie, n’ayons pas peur du mot !


Published by Thomas, on avril 24th, 2014 at 7:05 . Filled under: Actu générale. | No Comments |

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